Notre entreprise est née d’une vision ; celle d’un monde où la technologie pourrait sécuriser, réduire les distances, faciliter la communication, offrir un confort supérieur, optimiser la dépense énergétique. La récente crise sanitaire n’a fait qu’amplifier un mouvement déjà bien engagé vers le paradigme numérique, qui ouvre des possibilités gigantesques dont beaucoup restent encore à explorer. Cette industrie 4.0 dans laquelle nous sommes entrés apporte plus de souplesse productive et une alliance toujours plus étroite entre l’homme et les outils de gestion. Jamais les entreprises n’ont autant investi dans les logiciels et les systèmes collaboratifs tels que la vidéoconférence, le partage sécurisé des documents, les dispositifs de sécurité des biens et des personnes.
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme
Rabelais l’a parfaitement résumé il y a 500 ans avec son célèbre aphorisme. Il est indéniable que le progrès présente des dangers. Avec l’extraordinaire avènement du numérique, nous assistons en effet à un débordement du territoire professionnel sur la vie privée, et une exigence d’immédiateté qui impose une disponibilité permanente. Le patron de Facebook Mark Zuckerberg voit même dans le Metavers le futur « Graal des interactions sociales ».
Pour ma part, je reste fermement attaché à l’idée d’une technologie au service de la performance, qui n’asservit pas, ni ne déforme la perception du réel.
2022, année de changements pour de nombreuses entreprises romandes
La pandémie a imposé aux entreprises romandes une évolution organisationnelle inédite : en quelques mois le télétravail, les vidéoconférences, les outils de gestion partagés sont devenus non seulement des processus usuels, mais aussi d’enthousiasmants facteurs de performance ajoutée. Elles savent maintenant qu’elles devront rivaliser sur la qualité de leur dispositif numérique, pour conserver leur compétitivité et leur pouvoir d’attraction.
BAVITECH SYSTEMS se tiendra à leur côté dans une perspective d’évolution pérenne, et fera de leurs investissements informatiques non pas une charge, mais un actif.
Pedro Basilio
Directeur associé
